vendredi 10 octobre 2008

bloc party – intimacy


chronique écrite il y a 1 mois donc pas d'intérêt de retrouver une playlist.
Et puis la centième arrive et j'ai l'artiste : ce sera 'monkey' tout simplement.




je m'étais pourtant presque juré de ne plus écrire sur 'bloc party', et cela pour une simple et bonne raison, la médiocrité de leur second album de l'an passé.
Mais il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, et cet avec beaucoup d'apriori que j'ai quand même jeté une oreille sur ce nouvel opus.
Il sortent un peu de leur style simpliste de ce nouveau rock qui les a élevé au rang de groupe à succès et ce principalement outre manche.
Mais que s'est il passé, déjà il sont revenu à un esprit plus proche du premier album 'silent alarm' de 2005, mais en améliorant les écritures. Moins de titres faciles (bien que....) ou écrit à la va vite dans le seul but de gagner de l'argent, je suis un peu dur, mais bon je l'avais sur le cœur il fallait que ça sorte..
attention toutefois, on n'est pas en face de l'album de l'année, loin de là, mais au moins celui restera sur mon pc pour les quelques titres bien percutants qui s'y trouvent. On y retrouve un brit rock énergique (celui là même qui donne des boutons à certains devant ce trop de groupes à surfer sur sa vague, trop de néo rock britannique tue le rock britannique, à tel point de ne plus prêté attention.) et samples ordinatoresques, mais ils ont fait évoluer ce dernier. Le tout avec l'introduction de nouveaux instruments, 'mercury'#2 en est l'exemple parfait. Avec un style percutant et un son gras, on voit l'émergence de cuivres, ah enfin des cuivres me direz-vous, non, bon moi je me le dis, et cela fait un peu toute la différence, en tout cas cela me réconcilie un peu avec le groupe. Les tables de mixages sont mises un peu plus sur le devant de la scène, cela non plus n'est pas pour me déplaire, ok c'est facile, rien de nouveau sous le soleil, mais au moins cette fois-ci c'est un peu mieux utilisé, et cela apporte vraiment aux compositions un peu facile (tout de même) de cet album.
'one mouth off'#7 est bien rentre dedans, tout comme il faut, l'électronique au milieu du titre évite un peu la répétition, cela me suffit pour en parler aujourd'hui.
Il faut également cité le premier titre de l'album 'ares'#1 qui d'emblée montre leur volonté d'évoluer, très bien, le titre avance sur un faux rythme tout en retenu. c'est bien un titre qui sort un peu du rang, car ensuite on ne vous prends plus au dépourvu, tout arrive à point nommé, et c'est dans ce manque d'originalité que le bas blesse.

Voilà je pense oublié leur second album dont je tairais le nom et faire comme s'il n'était jamais sorti, pour passé directement à celui là.
Une note, allez un bon 11, oui c'est tout, faut pas déconner non plus, mais bon c'est la moyenne!!

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