dur dur de parler de cet album en hiver, car la liberacion sent bon le soleil, les fêtes et l’insouciance. dur d'en parler car il ne casse pas non plus trois pattes à un canard, non les css n'ont toujours pas retrouvé l'excellence de leur premier opus, bien que la liberacion soit bien meilleur que donkey de 2008.
c'est fou fou et on a souvent l'impression que c'est de la musique pour pré ado, surtout que parmi la multitude d'influences on entend souvent des beats de techno qui pourrait vous faire enchaîner, si vous ne prenez pas garde, quelques mouvements de tektonik.
voilà passer cette problématique quasi insurmontable, il n'y a plus qu'à poser son cerveau et écouter le tout avec un air béat.
bon je ne vous direz pas d'écouter le tout, mais bon il y a quelques titres pas mal qui méritent l'écoute en passant.
et notamment deux titres bien rentre dedans, city grrl#3 et la liberacion#6. le premier fleure bon le melting pot de synthé pop binaires et de cuivres qui doivent encore se demander ce qu'ils foutent là. quant au second il laisse tomber tous ses artifices et se concentre sur une guitare bien tranchante. dans les deux cas c'est la frénétique lovefoxx qui fait la différence.
en fait c'est surtout les textes qui ne sont pas au rendez vous, parce qu'il est vrai que l'on écoute pas cansei de ser sexy pour sa musique. et oui il manque des titres sur paris hilton ou toute autre bitch superficielle dont le groupe aurait pu nous raconter les péripéties.
voici le premier titre de l'album i love you#1, attention c'est un des meilleurs, alors si ça ne passe pas, arrêtez vous!
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