d'un côté james mercer leader de the shins, que je n'aime pas particulièrement, d'un autre danger mouse la moitié de gnarls barkley et multi producteur à ses heures perdues d'albums comme the good, the bad & the queen et de demon days de gorillaz et plus récemment de modern guilt avec beck, les deux pour un duo nommé broken bells, un album pop psyché.
voilà pour les présentations, l'album est assez sympa, pas la trouvaille de l'année, mais bon vu que je ne l'attendais pas du tout, je serais moins critique. les titres sont corrects dans l'ensemble et quelques uns se démarquent du reste.
le titre d'ouverture the high road#1, fait parti de ceux là. l'électronique aérée bien rythmique se fond dans l'ambiance pop, le mélange prend bien, on en demande plus.
les titres suivants s'enchaînent et petit à petit on se prend au jeu, c'est léger, il n'y a pas de fausses notes, les titres s'ingurgitent assez vite, là c'est sûr le printemps est revenu.
on a même droit à quelques petites surprises dans le genre avec the ghost inside#4 où on se croirait plus dans un album de gnarls barkley et avec citizens#7 qui m'a rappelé au bon souvenir de ma jeunesse avec babylone zoe et ses vocaux modifiés.
plus sérieusement je vous recommande mongrel heart#9, l'électronique est un peu plus présente, ce qui est un plus à chaque fois, et au milieu je vous laisse vous régaler du petit break façon pistolero.
voilà les titres sont accrocheurs sur l'instant pourtant j'ai quelques doutes sur la durée, c'est un album typique de ceux que l'on écoutent à leur sortie et qui prennent la poussière par la suite, bon c'est cadeau alors je prends.
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