Les ambassadeurs de la culture boum-boum ont remis le couvert il y a moins de 10 jours avec une galette au goût plus ou moins savoureux. Je vous épargne la bio de Prodigy, tout le monde ici a smacké sa bitch up avant de rejoindre les voodoo people en diesel power, c'était les nineties, on était tout fous. Après un always Outnumbered, Never Outgunned en 2004 dont personne ne se souvient (et pour cause), Liam Howlett revient cette avec Keith Flint et Maxim, ses vieux acolytes quittés après The Fat of the Land.
Résultat ? Bin je sais pas, on retrouve divers éléments de la culture rave des des 90's, la morue à la voix filtrée, le Big Beat, ça cogne, ça va vite. On y trouve aussi des sons un peu kitsh qu'on ose réutiliser que depuis peu ainsi que des sons très saturés, ça c'est pour donner un ton actuel. Voilà le clip du single qui comme vous le constaterez manque cruellement d'intérêt :
Bref, je suis pas convaincu, en même temps Experience, c'était il y a 16 ans...
moi j'ai pas accroché en tout cas, cet album n'attend plus que la suppression de ma bibliothèque.
RépondreSupprimerDaitachi on est pas potes pour rien, voila ce que je disais sur fesse bouk il y a quelques jours:
RépondreSupprimerMr Whistlewolf, à 16:50 le 24 février
Disons que ça ressemble au premier album de 92, c'est très "rave" au niveau des sons, ça ne me dérange pas, après une écoute il manque ce côté bad-trip/indus que j'affectionnais chez eux. Bon en même temps Howlett doit avoir 40 balais maintenant, ça doit être l'évolution artistique
En effet, ce Invaders Must Die ne me donne guère envie d'écouter l'album... Je crois que je vais m'arrêter là. :)
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