mais devant sounds of the universe, je suis bel et bien obligé de le faire. mais revenons en arrière, non pas en 1981 date de leur premier album, mais il y a 2 semaines quand un ami m'a dit :
"t'as écouté le dernier DM"
"euh non faut pas pousser, j'ai signé un traité de non agression avec mes oreilles"
"ah mais non mais il est très bien, je ne fais que l'écouter en voiture"
"et tu penses quoi de playing the angel de 2005"
"de la daube"
"bon ok j'y jetterai donc une oreille"
et depuis je ne fais que l'écouter en voiture également. comme quoi on peut renaître de ses cendres, bon il aura fallu attendre un bail mais le résultat valait l'attente. de plus je suis agréablement surpris tant je n'attendais vraiment, mais vraiment pas cet album.
je me prend à reconnaître des sons depuis bien longtemps oubliés, de la new wave qui a fait leur succès remise au goût du jour, de l'électronique gentillette quoi!
tout le monde a déjà du entendre wrong#3 et son ambiance totalement inquiétante, le clip n'étant pas plus rassurant.
le voilà
ce seul titre ne fait pas l'album, de toute manière le tout est vraiment consistant, ordonné et les ambiances mutent à chaque titres. je ne vais pas allé jusqu'à dire qu'ils ne tombent pas dans la facilité, tellement on a l'impression qu'ils auraient pu pondre n'importe quel des titres avant, mais un avant bien lointain.
l'album reprend les standards qu'on leur connaît et qui ont fait que j'ai vraiment apprécié ce groupe jadis. mais sounds of the universe, même si il porte bien son nom n'est pas que ça, alors in sympathy#6 donne vraiment dans ce registre, mais la suivante peace#7 est beaucoup plus actuelle, elle alterne entre orgue vaporeuse et synthé clair cher à daft punk.
beaucoup de titre tout en retenu, qui avancent assez lentement mais qui avancent, ça fait un peu plus sérieux, et du coup ça s'écoute presque en boucle.
voilà un album étonnant, à écouter, à réécouter et finalement à ranger derrière music for the masses et song of faith and devotion.
je ne peux pas terminer sans parler de jezebel#12, la boite à rythme est douce, le mélodie et belle, la voix de dave gahan renvoie pas mal d'émotion et le final est une fois de plus un tantinet inquiétant, ça s'écoute donc.
"t'as écouté le dernier DM"
"euh non faut pas pousser, j'ai signé un traité de non agression avec mes oreilles"
"ah mais non mais il est très bien, je ne fais que l'écouter en voiture"
"et tu penses quoi de playing the angel de 2005"
"de la daube"
"bon ok j'y jetterai donc une oreille"
et depuis je ne fais que l'écouter en voiture également. comme quoi on peut renaître de ses cendres, bon il aura fallu attendre un bail mais le résultat valait l'attente. de plus je suis agréablement surpris tant je n'attendais vraiment, mais vraiment pas cet album.
je me prend à reconnaître des sons depuis bien longtemps oubliés, de la new wave qui a fait leur succès remise au goût du jour, de l'électronique gentillette quoi!
tout le monde a déjà du entendre wrong#3 et son ambiance totalement inquiétante, le clip n'étant pas plus rassurant.
le voilà
ce seul titre ne fait pas l'album, de toute manière le tout est vraiment consistant, ordonné et les ambiances mutent à chaque titres. je ne vais pas allé jusqu'à dire qu'ils ne tombent pas dans la facilité, tellement on a l'impression qu'ils auraient pu pondre n'importe quel des titres avant, mais un avant bien lointain.
l'album reprend les standards qu'on leur connaît et qui ont fait que j'ai vraiment apprécié ce groupe jadis. mais sounds of the universe, même si il porte bien son nom n'est pas que ça, alors in sympathy#6 donne vraiment dans ce registre, mais la suivante peace#7 est beaucoup plus actuelle, elle alterne entre orgue vaporeuse et synthé clair cher à daft punk.
beaucoup de titre tout en retenu, qui avancent assez lentement mais qui avancent, ça fait un peu plus sérieux, et du coup ça s'écoute presque en boucle.
voilà un album étonnant, à écouter, à réécouter et finalement à ranger derrière music for the masses et song of faith and devotion.
je ne peux pas terminer sans parler de jezebel#12, la boite à rythme est douce, le mélodie et belle, la voix de dave gahan renvoie pas mal d'émotion et le final est une fois de plus un tantinet inquiétant, ça s'écoute donc.
C'est bien DM fait du DM et c'est tout ce que leurs fans demandent 25 ans après.
RépondreSupprimerT'es dur avec Playing the angel, je l'aime beaucoup. Le dernier n'a pas eu d'effet aussi immédiat sur moi, il faut que je l'écoute un peu plus, mais ça devrait le faire.
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