mardi 8 novembre 2011

emika - emika


encore de l'électronique, et oui faut bien que quelqu'un s'en charge, éhéhhééé!!
bon alors une très bonne surprise, du lourd même, bon ok ce n'est pas une claque digne de celle reçu le jour où j'ai découvert fever ray mais une qui a laissé une bonne marque sur ma petite joue.
emika est une jeune britannique d’origine tchèque qui vit aujourd'hui à berlin. elle est forcement signée chez ninja tune, et pourrait bien faire prochainement de l'ombre aux grands noms du label.




entre électronique et dubstep, emika nous livre un album assez sombre, sans aller toutefois trop loin dans la noirceur. les ambiances alternent entre torpeur et légère rémission, légère!
emika mélange beaucoup d'influences l'album est au final assez éclectique, on retrouve notamment des sons de trip hop (elle a grandi à bristol, bastion de portishead, ceci explique peut-être cela) mais également beaucoup de tonalités expérimentales, sa voix est vocodée, robotisée, le tout fait qu'on en redemande. c'est tout en retenue et d'une grande précision, il n'y a pas de faute de goût, dès qu'elle s'attache à un son, elle en fait le tour et passe à autre chose.

de ce fait, et même si la mélancolie est présente tout du long, il n'y a rien de répétitif, l'album se renouvelle et démontre surtout toute la classe de l'artiste. on a même droit à un final à contre courant mais tout en finesse avec le piano de credit theme#12.

l'album se savoure d'un bloc, alors jetez vous vite sur cet album.

voici common exchange#2 et 3 hours#1, n'attendez pas pour découvrir le reste.







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