vendredi 16 mars 2012

cloud nothings - attack on memory


steve albini (que je ne présenterais pas, car petit un je vais pas le faire à chaque fois et petit deux au final son paragraphe pourrait être plus long que l'article en lui-même, donc si vous voulez le détail, vous pouvez aller . a fini par se remettre au boulot, non pas qu'il se soit reposé ces dernières années, mais je veux dire par là qu'il s'est vraiment remis au boulot.

et il revient sur le devant de la scène en ayant transformé un groupe ayant déjà sorti deux albums plus que passables, en un groupe qui a aujourd'hui un réel avenir avec ce nouvel album attack on memory.


 
car cloud nothings avant attack on memory, ce n'est pas vraiment ce qu'il y a de plus abouti et de plus inspiré dans le rock indé. alors je ne sais pas si c'est grâce à steve mais cet attack on memory est une petite pépite pour les fans nostalgiques des 90's.

vous avez tout écouté du rock alternatif au grunge, vous raffolez du shoesgazing et avez écumé toutes les majors de l'époque, et bien il est temps aujourd'hui de jetez une oreille sur ce petit album de huit pistes.
tout y passe no future/no past#1 est criard, plaintif (le rauque de la voix de dylan baldi y fait pour beaucoup), changeant, calme, déchirant et déchiré ; wasted days#2 s'il y est encore plus marqué "nineties" au fer rouge, nous prend à revers avec ses 9 minutes et sa longueur inhabituelle. le titre est étiré, retourné et montre au final à lui tout seul de quoi est capable le groupe.

les titres s’enchaînent et les références refont surface, la guitare de stay useless#4 me fait penser à celle de dinosaur junior pour ne citer qu'eux.
guitare et basse se répondent bien, la voix n'est pas cachée derrière un son nerveux, et la production donc fleure bon la nostalgie. de quoi passer un bon moment en attendant que ces jeunes américains continue sur leur lancée, car en a pas douter ils ont du talent.

voici no future/no past#1 et fall in#3.



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